dimanche 31 août 2008

LES PREUVES , LA BANQUISE QUI "FOND"

1. Telle banquise a fonduCeci prouve un réchauffement local, dans cette région-là, et n'atteste en rien d'un ré-chauffement global. Les climats, c'est bien connu, sont soumis localement à des varia-tions importantes, dans un sens ou dans l'autre, et ceci n'a rien à voir avec un réchauf-fement global. Par exemple, au début de l'ère chrétienne, on cultivait la vigne aux envi-rons de Stockholm ; ce n'est pas possible aujourd'hui : il y a eu refroidissement. Les cli-mats, dans chaque région, ne sont pas immuables ; il peut y avoir à cela de multiples rai-sons naturelles, comme par exemple une variation dans les courants sous-marins.Il est frappant de voir que les "experts" ne publient jamais que les chiffres favorables à lathèse du réchauffement : il semble que la Sibérie ait connu en 2000 l'hiver le plus froidjamais enregistré.
Voici ce qu’écrivait Roger Vercel, en 1938, dans "A l’assaut des Pôles" :Justement, il se passe un extraordinaire phénomène : en même temps que l’empire français,les banquises côtières ont craqué, se sont brisées, ont disparu… Des icefields, en 1816et 1817, dérivent jusque sous le 40ème parallèle, à la hauteur de Tolède et de Naples ! Desicebergs de 60 mètres de haut sont signalés partout dans l’Atlantique : ce sont les morceauxdes falaises de glace qui étreignaient les terres polaires.
Et voici que William Scoresby, le plus renommé des capitaines baleiniers anglais, écrit àSir Joseph Banks, un des compagnons de Cook, et lui-même explorateur boréal, que depuisdeux ans, lui, Scoresby, ne trouve plus de glaces sur les côtes groendlandaises, entrele 74ème et le 75ème degré de latitude nord. Pareille occasion d’atteindre le pôle en longeantla côte du Groenland ne se représentera pas de sitôt !
On se demande avec délectation quelle serait la réaction de la presse et de nos politiquessi, de nos jours, on voyait un iceberg au large du Portugal. Notre développement dura-ble, grande cause nationale, serait déclaré en danger. Les bains chauds, qui sait, seraientlimités à un par trimestre ; l’automobile serait remplacée par la voiture à bras. Là où le19ème siècle voyait opportunité de conquête, le 21ème voit danger.

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