Comme quoi les sujets les plus fous reviennent bien d'une manière cyclique. Le pseudo réchauffement alimente la majorité de nos sujets d'information et de discussion. Pourtant jamais de preuve scientifique tangible. Mais quoi de mieux pour un gouvernement mondial de soulever les peurs, les craintes afin de diriger le monde dans une direction donnée...


PDG, Société de Calcul Mathématique SALe présent document réactualise une Note adressée au Secrétariat Général de la Défense Nationalefévrier 2006Nos conclusions
1) Il n'existe actuellement aucune raison de penser que le climat global de la Terreconnaisse une modification quelconque. Tous les arguments présentés pour prouverces modifications reposent sur des falsifications, des erreurs de calcul ou de modèle,des fautes de raisonnement.
2) Le climat, de tous temps et en tous lieux, a connu de fortes variations locales. Iln'existe aucune raison de penser que les variations locales actuelles sont plus im-portantes que par le passé. Bien plus, les données recueillies (par exemple l'éléva-tion du niveau de la mer) montrent que le climat a été beaucoup plus sage au coursdes 2 000 dernières années qu'au cours des 20 000 ans qui ont précédé. A l'inverse,les arguments prouvant par exemple une augmentation récente de la force des cy-clones reposent sur des falsifications, des erreurs de calcul ou de modèle, des fautesde raisonnement.
3) Si le climat global de la Terre évolue (ce que nous n'avons actuellement aucunmoyen de savoir, faute de données suffisantes), des variations d'activité solairepeuvent en être la cause. On sait que de telles variations existent, mais on ne saitpas les quantifier, ni quantifier leur influence sur le climat. A l'inverse, les argu-ments portant sur des variations de l'orbite terrestre reposent sur des erreurs deraisonnement.
4) L'ensemble des actions humaines entreprises pour lutter contre le "réchauffementclimatique" (limitation des gaz à effet de serre, etc.) est absurde, grotesque, dé-pourvu de contenu scientifique comme d'efficacité : il s'agit d'une prière lancée enune langue incompréhensible à un dieu qui n'existe pas.
5) Si un réchauffement venait à s'installer en France, ce ne serait qu'un retour à unesituation ancienne : par le passé, le climat français a été plus chaud qu'aujourd'hui.Il n'y aurait aucune raison de s'en plaindre, puisque nous dépensons actuellementune quantité considérable d'énergie à nous chauffer.
Société de Calcul Mathématique, S. A.Algorithmes et OptimisationLa mystification du réchauffement climatique. Bernard Beauzamy, SCM SA, 2006 2
I. IntroductionTous les experts ou presque considèrent le réchauffement global du climat de la Terrecomme un fait acquis et démontré ; il n'est pas de jour où les médias (presse, radio, télé-vision) ne l'évoquent, le présentant comme une certitude, apportant de nouvelles preuves(la fonte des glaces, les fortes tempêtes, etc.) et réclamant, bien sûr, une réaction rapide.L'opinion publique s'émeut, les politiques réglementent et légifèrent.Il s'agit pourtant, comme nous allons le voir, d'une complète mystification :
1. Les données disponibles sont insuffisantes pour permettre quelque conclusion que cesoit ; seraient-elles mille fois plus nombreuses qu'elles ne le permettraient toujourspas ;
2. Les modèles employés (et c'est précisément notre métier de mathématicien que de lesjuger) sont à ce point sommaires, grossiers, empiriques, fallacieux, que les conclu-sions qui en sont tirées sont dépourvues de toute valeur prédictive ; seraient-ils millefois plus précis qu'ils ne le permettraient toujours pas ;
3. Les "preuves" apportées ne prouvent absolument rien ;
4. Les énergies que l'on nous présente comme renouvelables ne le sont pas ;
5. L'effet de serre, si nous étions capables de l'obtenir, serait une bénédiction.Nous allons examiner tous ces points successivement. Il faut dire au préalable quelquesmots sur la manière dont on tire des conclusions à partir des données : c'est là que le bâtblesse !