dimanche 31 août 2008

Petit retour en arrière il y a 50 ans !

La célèbre Etoile Mystérieuse de Tintin , il y a 50 ans !
Comme quoi les sujets les plus fous reviennent bien d'une manière cyclique. Le pseudo réchauffement alimente la majorité de nos sujets d'information et de discussion. Pourtant jamais de preuve scientifique tangible. Mais quoi de mieux pour un gouvernement mondial de soulever les peurs, les craintes afin de diriger le monde dans une direction donnée...

PDG, Société de Calcul Mathématique SALe présent document réactualise une Note adressée au Secrétariat Général de la Défense Nationalefévrier 2006Nos conclusions
1) Il n'existe actuellement aucune raison de penser que le climat global de la Terreconnaisse une modification quelconque. Tous les arguments présentés pour prouverces modifications reposent sur des falsifications, des erreurs de calcul ou de modèle,des fautes de raisonnement.
2) Le climat, de tous temps et en tous lieux, a connu de fortes variations locales. Iln'existe aucune raison de penser que les variations locales actuelles sont plus im-portantes que par le passé. Bien plus, les données recueillies (par exemple l'éléva-tion du niveau de la mer) montrent que le climat a été beaucoup plus sage au coursdes 2 000 dernières années qu'au cours des 20 000 ans qui ont précédé. A l'inverse,les arguments prouvant par exemple une augmentation récente de la force des cy-clones reposent sur des falsifications, des erreurs de calcul ou de modèle, des fautesde raisonnement.
3) Si le climat global de la Terre évolue (ce que nous n'avons actuellement aucunmoyen de savoir, faute de données suffisantes), des variations d'activité solairepeuvent en être la cause. On sait que de telles variations existent, mais on ne saitpas les quantifier, ni quantifier leur influence sur le climat. A l'inverse, les argu-ments portant sur des variations de l'orbite terrestre reposent sur des erreurs deraisonnement.
4) L'ensemble des actions humaines entreprises pour lutter contre le "réchauffementclimatique" (limitation des gaz à effet de serre, etc.) est absurde, grotesque, dé-pourvu de contenu scientifique comme d'efficacité : il s'agit d'une prière lancée enune langue incompréhensible à un dieu qui n'existe pas.
5) Si un réchauffement venait à s'installer en France, ce ne serait qu'un retour à unesituation ancienne : par le passé, le climat français a été plus chaud qu'aujourd'hui.Il n'y aurait aucune raison de s'en plaindre, puisque nous dépensons actuellementune quantité considérable d'énergie à nous chauffer.

Société de Calcul Mathématique, S. A.Algorithmes et OptimisationLa mystification du réchauffement climatique. Bernard Beauzamy, SCM SA, 2006 2

I. IntroductionTous les experts ou presque considèrent le réchauffement global du climat de la Terrecomme un fait acquis et démontré ; il n'est pas de jour où les médias (presse, radio, télé-vision) ne l'évoquent, le présentant comme une certitude, apportant de nouvelles preuves(la fonte des glaces, les fortes tempêtes, etc.) et réclamant, bien sûr, une réaction rapide.L'opinion publique s'émeut, les politiques réglementent et légifèrent.Il s'agit pourtant, comme nous allons le voir, d'une complète mystification :
1. Les données disponibles sont insuffisantes pour permettre quelque conclusion que cesoit ; seraient-elles mille fois plus nombreuses qu'elles ne le permettraient toujourspas ;
2. Les modèles employés (et c'est précisément notre métier de mathématicien que de lesjuger) sont à ce point sommaires, grossiers, empiriques, fallacieux, que les conclu-sions qui en sont tirées sont dépourvues de toute valeur prédictive ; seraient-ils millefois plus précis qu'ils ne le permettraient toujours pas ;
3. Les "preuves" apportées ne prouvent absolument rien ;
4. Les énergies que l'on nous présente comme renouvelables ne le sont pas ;
5. L'effet de serre, si nous étions capables de l'obtenir, serait une bénédiction.Nous allons examiner tous ces points successivement. Il faut dire au préalable quelquesmots sur la manière dont on tire des conclusions à partir des données : c'est là que le bâtblesse !

ROLE DES MATHEMATICIENS

Entre les données, recueillies par des appareils, et les conclusions ou décisions, prisespar les entreprises ou les hommes politiques, il y a une étape essentielle, qui est uneconstruction intellectuelle. Cette construction est réalisée par le mathématicien ; elles'appelle un modèle. C'est lui qui permet l'interprétation des données ; c'est lui qui per-met de dire : là elles sont insuffisantes, là l'incertitude est trop importante pour que l'onpuisse conclure. La confection des modèles est une science en soi ; beaucoup de discipli-nes -notamment la physique du globe- croient à tort pouvoir s'en passer. Est-ce arro-gance ou ignorance ? Nous allons voir les pitoyables résultats qui en découlent.

III. Données et modèlesLes données météorologiques disponibles actuellement sont trop peu nombreuses aussibien quant à la durée que l'étendue pour qu'on puisse en tirer quelque conclusion que cesoit. La mesure précise des phénomènes météorologiques est très récente ; en de raresendroits, certes, les mesures ont 10, 50, 100 ans, mais les relevés sont peu fiables. Ac-tuellement même, le réseau de capteurs dont on dispose, au niveau mondial, est très in-suffisant pour une observation globale : il faudrait accéder aux hautes couches de l'at-mosphère et, surtout, aux couches profondes des courants sous-marins : on le fait ici oulà, grâce à des sondes ou des ballons, mais seulement de place en place, avec une "densi-té des mesures" qui est très insuffisante. Il y a des zones, dans le Pacifique ou l'Atlanti-que, de taille 1 000 km x 1 000 km, de profondeur 5 km, sur lesquelles on ne disposed'aucune donnée ; cela fait tout de même 5.1015 m3 ! En particulier, la connaissance descourants sous-marins, qui jouent un rôle essentiel dans l'évolution du climat, est très li-mitée. Voir C. Carlier [1] pour une étude détaillée de la précision des données.
Les modèles employés sont extrêmement sommaires. Les modèles d'atmosphère utilisentdes lois de la mécanique très simplifiées ; les modèles d'océan sont encore plus frustes.Quant aux échanges thermiques ou chimiques, air-océan, océan-terre, terre-air, on n'enconnaît à peu près rien. Les modèles météorologiques sont incapables de précisions fia-bles sur une semaine, et on voudrait les faire parler sur 100 ans ! La plupart de ces ques-tions sont traitées "en interne" par des spécialistes des disciplines concernées, qui n'ontpas la formation mathématique requise.

LES PREUVES , LA BANQUISE QUI "FOND"

1. Telle banquise a fonduCeci prouve un réchauffement local, dans cette région-là, et n'atteste en rien d'un ré-chauffement global. Les climats, c'est bien connu, sont soumis localement à des varia-tions importantes, dans un sens ou dans l'autre, et ceci n'a rien à voir avec un réchauf-fement global. Par exemple, au début de l'ère chrétienne, on cultivait la vigne aux envi-rons de Stockholm ; ce n'est pas possible aujourd'hui : il y a eu refroidissement. Les cli-mats, dans chaque région, ne sont pas immuables ; il peut y avoir à cela de multiples rai-sons naturelles, comme par exemple une variation dans les courants sous-marins.Il est frappant de voir que les "experts" ne publient jamais que les chiffres favorables à lathèse du réchauffement : il semble que la Sibérie ait connu en 2000 l'hiver le plus froidjamais enregistré.
Voici ce qu’écrivait Roger Vercel, en 1938, dans "A l’assaut des Pôles" :Justement, il se passe un extraordinaire phénomène : en même temps que l’empire français,les banquises côtières ont craqué, se sont brisées, ont disparu… Des icefields, en 1816et 1817, dérivent jusque sous le 40ème parallèle, à la hauteur de Tolède et de Naples ! Desicebergs de 60 mètres de haut sont signalés partout dans l’Atlantique : ce sont les morceauxdes falaises de glace qui étreignaient les terres polaires.
Et voici que William Scoresby, le plus renommé des capitaines baleiniers anglais, écrit àSir Joseph Banks, un des compagnons de Cook, et lui-même explorateur boréal, que depuisdeux ans, lui, Scoresby, ne trouve plus de glaces sur les côtes groendlandaises, entrele 74ème et le 75ème degré de latitude nord. Pareille occasion d’atteindre le pôle en longeantla côte du Groenland ne se représentera pas de sitôt !
On se demande avec délectation quelle serait la réaction de la presse et de nos politiquessi, de nos jours, on voyait un iceberg au large du Portugal. Notre développement dura-ble, grande cause nationale, serait déclaré en danger. Les bains chauds, qui sait, seraientlimités à un par trimestre ; l’automobile serait remplacée par la voiture à bras. Là où le19ème siècle voyait opportunité de conquête, le 21ème voit danger.